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Le Bien du peuple de Bourgogne, 21 février 1926

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Le Bien du peuple de Bourgogne
21 février 1926


Extrait du journal

cœur n’entendent plus se laisser ait her par la contrainte ou la menace des concessions commandées pur l’intérêt légitime de l’ouvrier, ils veulent aller au devant des revendications de classe, les deviner, les préciser et s'employer à y satisfaire. Au fond du cœur de tout homme bien i. ? il y a un sentiment de justice. Si lu démocratie a souvent dévié, si aujourd’hui encore tant d’ouvriers honnêtes se laissent égara par des meneurs qui exploitent leur droiture au profit d ambitions politiques, c'est que ces ouvriers ont le sentiment vague que les conditions qui leur sont faites par le machinisme et pur l'anonymat des exploitations industrielle» ne sont pas morales, et qu'ils ont le droit de se rebeller contre leur emprise. Les trois derniers Papes n'ont pas dit autre chose, mais des préjugés créés par une longue déformation profit .-^ionnelle ont empêché hé chez les deux groupements intéressés, devenus antagonistes, la p.t.option nette de l’équité... Que les classe supérieures travaillent, s'inclinent vers l’ouvrier pour le servir. Lui, de son côté, respectera ses chefs, prendra à cœur leurs intérêts, so fera le serviteur de l’œuvre à laquelle, sous leur direction, il a l’avantage de collaborer....
Le Bien du peuple de Bourgogne (1914-1940)

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