Le Bien du peuple de Dijon 7 juillet 1912

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Extrait du journal

Le peuple qui avait donné ses bras donna aussi ouvriers do la ville, groupés en corporations. On reniai que, en effet, au bas de chaque vernerf, une petite cane de la. vie populaire qui na aucun rapport avec le reste du vitrail : ce sont des bouchers qui aluifb'nf un bœuf, des pelletiers qui vendent des fourrures, des tailleurs de pierres qui travaillent dans l’atelier, etc. Lest, la signature, comme un dit, des corporations qui oui donné ces vitraux. Oi, en faisan! le relevé de ci- signatures, on x oit que les drapiers ont donné cinq verrières, les orfèvres cinq, les cordonniers Quatre, les tanneurs quatre, les bouchers trois, les boulangers trois, les tisserands trois, les charpentiers trois, etc., en tout 47 verrières données par les corporations de Chartres....

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7 juillet 1912