Extrait du journal

» Sur ce signe de Ion padishah asti. de ton maître suprême, ton calent est devenu d ivoire et d’or, et la basane où tu mettais les signes en noir de Chine est devenue.sous ta plume glissant joyeusement, un soyeux parchemin de Syrie. La pierre de Kebadji (rôtisseur en plein vent), regardée par ton sultan, s’est ('ouverte de coussins selon la tonne et les voluptés de ton corps, et au miroir de sabre de mes soldais (saptichk tu as pu voir ta tunique de lin vierge et ton caftant de Bagdad.doré sur les reins et sur la poitrine. Alors tuas chanté «nsrh allait.... tnasclt allait.... C’était bien. Ton cœur comme la grenade pleine de rubis des jardins, de nos coteaux, s’est ouvert à la reconnaissance....