Extrait du journal

Mère France, qu’en dis-tu ? Allons, lève-toi, et de ton indignation et de ton mépris, flagelle ces mauvais Français, flagelle ces mauvais citoyens, fouaille jusqu’au sang les misérables qui te veulent toujours faible parce qu’ils vivent de ta faiblesse; écrase ces sangsues opportunistes qui aspirent le meilleur de tes forces pour que leurs maîtres puissent mieux briser tes efforts; marche avec nous, Patrie, avec nous qui n’avons d'autre amour que toi, d’autre haine que celle de tes ennemis, Prussiens de France ou de Berlin....