Extrait du journal

En août 181*.), un fils naissait à un honorable commerçant parisien. Ce commerçant n’était pas le premier venu. Il devait, avant de mourir, s’asseoir dans un fauteuil de juge au tribunal de commercent laisser au milieu de ses collègues le souvenir d’un homme à la fois intelligent, aimable et intègre. De plus, il était artiste ; artiste comme on ne l’est généralement pas dans le commerce : artiste au point de se lever à quatre heures du matin pour tirer l'archet sur le violon, lo violoncelle, au milieu de ses concitoyens endormis, avant d’aller à son magasin....