Extrait du journal

zl T ouvrit*'1, tien n appartient .sur terre; Pas mime un toit, pas mime ses enfants, Rien que le droit de mourir de misère, D'être un outil aux mains des possédants. C’est le maudit des pays et des races; C’est le traqué qu'on chasse en ricanant Quand son cerveau, par] ois, lui fait la grâce D’être en révolte contre le tourment. zl l'ouvrier, rien n appartient ici, C’est l'exilé qui passe et qui gémit, Semant en vain des récoltes stériles. C'est un esclave debout sur les champs Et les coteaux ou s’étagent des villes. S'il n'entend pas les fleuves par leurs chants Gronder en chœur le chant d'une révolte, C'est qu'une bouche où tout rient s'engloutir Ronfle la mort en broyant sa récolte : Le Capital sacre le gueux martyr !...