Extrait du journal

On ne peut pas, au moment où il semble que notre ministre des affaires étrangères va se résoudre à adopter une politique marocaine plus raisonnable que celle qu'il suivait auparavant, critiquer sans mesure les textes diplomatiques soumis à l’examen des Chambres. Le signe d’assentiment que fit Monsieur Pichon, le 2b novembre, pendant le passage du généreux discours de Jaurès, relatif à notre future conduite vis-à-vis du peuple marocain. rajeuni et transformé, nous auto rise à croire à la possibilité d'un abandon loyal de notre ancienne politique....