Extrait du journal

Noua disions il y a deux jours, à nos amis de l'opposition, que nous ne consentirions jamais, pour notre part, à ce qu’on absorbât t attention entière du pays dans la seule question religieuse d* manière à lui taire oublier toutes les autres, et à faciliter nousmêmes au prochain cabinet les moyens de se passer de nous. Nous ajoutons aujourd'hui hui que la peur des jésuites ne nous portera jamais à sacrifier la liberté de l’enseignement. Fussions-nons seuls de tous les journaux de l'opposition à la défendre, nous ne lui ferions pas défaut. Nous puiserions, au contraire, dans notre isolement de nouvelles forces, et nous nous réjouirions en pensant que nous, au moins, n’ado is pas abandonné la défense l'un des f>lus grands principes de la révolution aux ennemis que la mésout'.on a vaincus. En agissant ainsi , nous croyons d’ailleurs rendre service à...