Extrait du journal

Au moment où la question de Taïti n’était pas encore résolue, en soupçonnait que le voyage de l’empereur Nicolas à Londres pouvait bien avoir quelque but politique et nous avons alors exprimé la conviction qu’il s’agissait de quelque nouveau traité Brunom, dirigé contre les intérêts de la France. Le séjour prolongé en Angleterre de M. de Nesselrode, qui depuis longtemps dirige les affaires extérieures de la Russie, ne pouvait, selon nous, s’expliquer par la santé de ce diplomate, et par la nécessité de prendre les bains de iry?r à Brighton. Nous apprenons maintenant pue nous ne nous étions pas tram-...