Extrait du journal

celles où des renseignements de fait et des propositions nouvelles peuvent être apportés et agir sur les convictions générales. Mais quant à ces matières que chacun croit suffisamment connaître et que personne n’a de motif actuel d’examiner de nouveau, nous pensons qu’il f aut attendre que les circonstances viennent donner une sorte de secousse aux convictions. La nécessité de prendre un parti jette alors de l’indécision dans les résolutions mêmes qui se supposaient inébranlables, et, à la faveur de cette émotion, elles se laissent pénétrer par le raisonnement. Evidemment ces circonstances n’existent pas en ce moment. Et...