Extrait du journal

Son auteur l’a défendu avec onction, comme il convenait, en prenant Dieu à témoin. que la France était à jamais perdue si la Chambre, avant de s’en aller, ne prenait pas soin d’inscrire dans la Constitution que l'Aasemblés qui la remplacerait remplirait régulièrement ses devoirs religieux,catholiques,apostoliques et romains. Mais, a fait modestement M. Labuulaye, ce n’est point là, en vérité, besogne constitutionnelle ! .Nos successeurs iront à la messe, si cela leur fait plaisir; ce n'est point à nous de nous occuper du salut de leur âme. Croyez moi, monsieur de Belcastel, laissez-les, à c^l égard, s’arranger comme ils l’entendront avec le bon Dieu. Mais M. de Belcastel n’a pas voulu ente...