Extrait du journal

Strasbourg. E prétende testament de Louis Capet n’et u’une capucine, forgée par les prêtres pour ravir d’aliment à la sottise des âmes dévotes , & exciter la furent du peuple contre fon fils. C’et une dernière ruée des intrigant, qui veulent absolument que le fana fait répandu par les mains du peuple, afin que les calomnies qu’ils ne baffent de répandre contre le peuple,, fonçât appuyées par quelque action atroce. Us veulent, félon leur usage, faire commettre le crime par leurs agent, puis le rejettes fur le peuple, & ils vous diront ensuite que ce testament , qui suppose encore des droits au fils de Capet, a excité le peuple à de nouveaux crimes. Voilà ce qu’ils imaginent dans leur fureur, depuis qu’ils ont vu, avec désespoir, manquer les projets de carnage qu’il» avoient complotés pour la journée de l’exécution de Louis. Mais...