Extrait du journal

Aussi serait-il inutile d'invoquer, pour sauver nos bois et nos feuillages, le souci de la nature et du pittoresque : ce sont là choses indifférentes. Heucreusement, on peut trouver d'autres motifs, et prouver aux hommes pratiques qu’ils se ruinent en voulant s’enrichir. La terre se venge toute seule. Nos fleuves cessent d’être navigables : les inondations, les 'écoulements se succèdent : en outre, on prévoit déjà le moment où le bois s’épuisera, et où il faudra aviser aux moyens de s’en passer....