Extrait du journal

Depuis 1939, j’ai rêvé au jour où. r Paris, je lui serrerai ir. r’faon. C’est en pensant à lui que je me suis battu, que j'ai mérité, parait-il, cette médaille militaire, nue je lui offre ici publiquement. En pensant à lui que j'ai écrit les poèmes du Crève-Cœur pour tous les malheurs de la Patrie. En pensant.â lui que j’ai quatre ans lutté à ma manière contre les barbares qui courbaient notre pays. Et je voudrais que le général rte Gaulle, à qui je m’adresse ici respectueusement, m’entendit, la France ne sera pour moi tout à fait libérée que le jour où la derme trace allemande lavée sur notre sol j’aurai le droit de serrer la main de Maurice THOREZ à PARIS....