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Le Dix décembre, 6 septembre 1849

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Le Dix décembre
6 septembre 1849


Extrait du journal

Les crèches décimer les enfants du peupi ; ! Mais ce citoyen Marc-Dufraisse, qui vient de trouver cette exécrable formule devant le conseil-général de la Dordogne, cet apôtre aveugle de la cause du peuple, n’a donc jamais compris à quelle douloureuse alternative hs infères pauvres étaient réfutes avant la fondation des crèches qu’il appelle ainsi ncirtrières. — Citoyen, il fal:i»il ou garder son enfant pour le voir mourir sur son hein tari, ou l’abandonner toute une longue journée pour aller au travail qui lait vivre, qui donne du pain,—et quel pain que ceci qui s'achetait au prix de toutes les angoisses maternelles ! C'est l’enfant que la mère incessamment croit entendre pleurer, ce sont les convulsions qui arrivent et la mort qui peut prendre la chétive, ma s bien chère créature durant son absence. — Et c’< traitai souvint vrai! Lis plus heureuses les confiaient à la nourrice mendiante qui, par le froid ou le chaud, an coin des rues, l’exposait à la pitié des pa sauts, on faisait un appel intéressé à la charité publique *....
Le Dix décembre (1849-1850)

À propos

Le Dix-décembre est un périodique bonapartiste, ayant paru quotidiennement entre avril 1849 et juin 1850. Son titre, qui se réfère à la date de l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République, sera également utilisé par à la Société du Dix-décembre, avec laquelle il partage ses locaux situés dans le neuvième arrondissement parisien. Son contenu porte sur la politique nationale et internationale. Il est remplacé par Le Pouvoir.

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