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Le Dix décembre, 9 mai 1849

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Le Dix décembre
9 mai 1849


Extrait du journal

Mais si la province dit » Ce que nous détestons, ce que nous méprisons, ce que nous repoussons de la main et du pied, ce sot t les républicains de la Vi bile, cette coterie s ms talent, sans foi, sans honneur qui a lâchement assassiné la France; ce sont les hommes de M Marrast. le désintéressé, à qui Sparte eût élevé une statue; ce sont !es hommes de M. Ledru-rollin, l’acheteur d’hôpitaux ; ce sont les voltigeurs du gouvernement provisoire, les socialistes, etc. — Or, qui ! danger? Nous sommes bien sûrs que ces homme;-là sont morts politiquement. Pourquoi doge ne nous donnerions- sn->us pas l’innocent plaisir de jouer au scrutin, de compter nos voix légitimistes, nos voix régentâtes, nos voix bonapartistes?... »...
Le Dix décembre (1849-1850)

À propos

Le Dix-décembre est un périodique bonapartiste, ayant paru quotidiennement entre avril 1849 et juin 1850. Son titre, qui se réfère à la date de l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République, sera également utilisé par à la Société du Dix-décembre, avec laquelle il partage ses locaux situés dans le neuvième arrondissement parisien. Son contenu porte sur la politique nationale et internationale. Il est remplacé par Le Pouvoir.

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