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Le Dix décembre, 23 août 1849

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Le Dix décembre
23 août 1849


Extrait du journal

Le cœur se serre à l’idée que cette dépêche ne serait qu’une manoeuvre; qui aurait j$é se jouer ainsi de l’admiration et de lest.Æilrissement de l’Europe? Mais, si le document existe, quelle autre induction en tirer .ne la certitude d’une trahison de Gœrgey ? jeun nous permette pour un instant cette hypothèse, et qu’on n’y voie rien d’insultant pour le jeune et célèbre général magyare ; elle est la conséquence directe du texte diplomatique que nous avons sons les yeux. Pour s’être rendu avec son armée à Paskeivlch, pour avoir déclaré qu’il entendait ne faire sa soumission qu’aux « vaillantes troupes russes, » il faut, indubitablement, que berges ait secrètement traité avec quelque émissaire de Saint-Pétersbourg. La politique russe est, d’ailleurs, coutumière du fat; ses ministres corrompent ceux que ses armées m peuvent détruire ; c’est encore une matire de destruction....
Le Dix décembre (1849-1850)

À propos

Le Dix-décembre est un périodique bonapartiste, ayant paru quotidiennement entre avril 1849 et juin 1850. Son titre, qui se réfère à la date de l’élection de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République, sera également utilisé par à la Société du Dix-décembre, avec laquelle il partage ses locaux situés dans le neuvième arrondissement parisien. Son contenu porte sur la politique nationale et internationale. Il est remplacé par Le Pouvoir.

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