Extrait du journal

On se demande, en vérité, si la vie végétative,toute de souffrance, que subissent les sans logis et les sans pain, mérite qu’ils accordent un aussi grand prix à l’existence, < t s’il ne serait pas préférable puisqu’on leur refuse le droit à la vie, et la libre circulation, de disparaître de la surface terrestre, en entraînant avec eux la galère sur .^quelle ils peinent sans cesse, plutôt que de continuer parleur passivité à faire le jeu des oisifs, qui n’exaltent les bienfaits et la beauté des civilisations modernes,que parce...