Extrait du journal

demi dans les prisons d'Angleterre et | d'Irlande, ainsi que mes frères et .ma | femme, qui était, professeyr.de français à notre université nationale.' Mais c!est" avec la même ardeur què je continuerai de combattre pour notre indépendance. » L'Angleterre sait qu'elle ne viendra pas à bout de nous par la force et qu'elle s'affaiblit dans cette lutte, qui lui coûte non seulement des hommes, mais en core un milliôn de livres par semaine. Elle sait aussi que les nombreux Irlan dais qui, à cause d'elle, se sont disper sés à travers le monde, ont une grande influence, surtout aux Etats-Unis-, où beaucoup se sont fixés et la combattent ouvertement. Alors elle comprend qu'il serait peut-être temps de faire la paix et de reconnaître nos droits, et c'est ce qui explique les propositions qui ont été fai tes à nos délégués de Londres. » La France nous a toujours manifesté "sa sympathie, et j'espère qu'un jour la « République irlandaise » pourra lui témoigner sa reconnaissance. James de Coquet....