Extrait du journal

Gardez-vous donc, quand un jeune homme se présente, bien né, bien doué, déjà éloquent et instruit comme l'est celui qui nous a inspiré ces réflexions, de lui jeter sa jeunesse à la tête. Je comprends que tes ennemis de la pa trie monarchique n'aiment pas à lui voir faire des recrues de cette force; aussi n'est-ce pas à eux que je m'adresse, mais aux ba dauds qui se laissent aller trop souvent, sans savoir pourquoi, à faire chorus quand on dit devant eux une sottise. Ne chicanons pas tes jeunes orateurs sensés et patriotes sur leurs cheveux ; n'exigeons pa&qu'ils aient te crâne de M. (Jrévy pour croire leur tête habitée par une cervelle de quelque poids. Louis Feyrou,...