Extrait du journal

ÉCHOS Faux bruits. . Des bruits circulent. On ne sait d'où il viennent ni où ils vont. Valent-ils un Uementi ? Sans doute. Pas plus qu'il n'est- vrai que "notre journal a été acheté par un sénateur inlluent et très riche, il n'est vrai que notre directeur politique et 'la Société du Figàro ont acquis un de nos confrères du soir. . Des gens 'bien informés avaient Vu le contrat signé. Disons que ces gens bien informés .n'avaient pas pu vtyr un tel contrat que par les yeux d'une imagina tion en délire. Toutes ces informations sont des pois sons d'avril dont il est impossible de faire des œufs de Pâques. Lés belles notes (suite). Comme".suite à notre écho sur la cu rieuse note de plombier qui nous était si gnalée, un de nos lecteurs nous signale l'extraordinaire cupidité d'un électricien. Notre correspondant avait fait avec ce petit industriel de quartier un forfait de 250 francs pour un travail. Ce travail étant achevé au bout de seize heures d'un labeur qui ne fut pas acharné, quand i! s'agit du* règlement, l'industriel, mal gré le prix convenu, réclama 292 francs, et comme le client fort de son droit ne céda pas, quelques jours plus tard, cet électricien lui fit parvenir un mémoire de 462 fr. 98. Y a-t-il une loi pour le punir ? -...