Extrait du journal

Parlons un peu de M. Jules Favre. De puis deux jours nous sommés assaillis de lettres de nos abonnés de France^ et d'Eu rope, qui s'extasient sur l'impudeur et le cynisme de ce grand pleurnicheur qui devrait être bourrelé dé remords. « Il faut, nous dit-on, que cet homme manque tout à fait de sens moral pour1 oser encore élever la voix à la tribune. Il faut que ceux qui l'écoutent aient pu oublier les sou venirs détestables qui- s'attachent au nom de cet homme, les catastrophes de sa vie privée, les hontes de sa vie pu blique 1 » «— « Est-il possible, nous dit un autre...