Extrait du journal
Paris, 50,000 fr.; Lyon, 15,000; Bordeaux, 10,000; Marseille, 10,000; Blois, '6,000; Nantes, 5,000; Toulouse, 5,000; Rouen, 3,000; Versailles, 3,000; Dunkérque, 3,000; Montpellier. 3,000; Nîmes, [ 3,000; Caen, 3,000; Orléans, 2,400; Limoges, 2.400; Le Mans, 2,000; Dijon, 2,000; Douai, 2,000 ; Amierts, 2,000 ; Bourges, 2,000; Reims, 2,000; Tours, 2,000; Angers, 2,000; Rennes, 2,000; Joigny, 2,000; Gex, 2,000; Brest, 2,000; Fontainebleau, 1,500; Chartres, 1,500; Aix, 1,500; Clermont, 1,500; SaintEtienne, 1,500; Montauban, 1,500; Auxerre, 1,000; Lorient, 1,000; Lisieux, 1,000; Cateau-Cambrésis, 1,000; Valence, 1,000; Tarbes, 1,000 ; Carcassonne, 1,000; Pau, 1,000; Hagueneau, 1,000; -Riom, 1,000; Cherbourg, 1,000; Béthune, 1,000, etc., etc....
À propos
En 1854, quatorze ans après la disparition du petit journal subversif du temps de Charles X, Hippolyte de Villemessant relance Le Figaro. Paraissant d’abord sous la forme d’une petite feuille de chou littéraire, Le Figaro absorbe L’Événement en 1866 pour devenir, sans transition, le grand quotidien conservateur que l’on connaît. Dès les années 1880, il abandonne la cause du monarchisme pour adhérer aux principes républicains.
Données de classification - vergoin
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- de sombreuil
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- de marcère
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- françois i
- de brazza
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- paris
- caen
- lyon
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- fontenoy
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- commune de paris
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