Extrait du journal

>> La Chine ouverte : voilà le grand grief. Les Russes à Port-Arthur, les Anglais a \\ ei-Hai-Weï. les Allemands 1 ici, les Français là; les chemins de fer commençant à sillonner tout l'empire, les ports ouverts au commerce, les grands fleuves sillonnes non plus seulement par d’antiques conques et grâce à la mainte oeuvre indigène, mais aussi par des steamers que conduisaient les diables étrangers ; la tranquillité séculaire troublée par les mœurs nouvelles, , et cinq cents millions d’hommes ana- < éthiques et sans nerfs et jusqu’alors ligues . dans la contemplation des vieilles coutumes, qui voyaient tout a coup leurs frontières violées, leur civilisation bousculée, leurs manies dérangées, leur commerce dépassé......