Extrait du journal

Comme, étant très jeune, il est très gai, c'est une véritable joie pour lui de voir pleuvoir les coups sur ces homme» a lunettes qui se figuraient acheter la France, après l'avoir ruines, en acquérant sur le marché les litres d'un journal. Mais il ne se contente pas de lever les épaulés et de se moquer. Il sait, par ouï-dire, qu'il fut un temps où, bien avant les armées aile- , mandes, les voyageurs, les industriels, les commerçants, les ouvrier», les boursiers et les correspondants germanique s : avaient envahi notre sol, peuplé nos maisons et nos rues, étudié nos usines et nos routes, relevée le compte de nos forces et dressé le bilan de nos faiblesses....