Extrait du journal

J’ai des raisons de croire qu'il n’en est plus guère ainsi. Le négociant-commissionnaire, au furet et à mesure que la crise économique s'est accentuée, a tiré scs marchandises des pays où la production est à meilleur compte, sans se prëoccuperde la nationalité du producteur. Tant mieux s'il est Français ! tant pis s’il est Allemand! A l'heure présente, il passe presque autant de marchandises étrangères, anglaises, belges ou allemandes, que de marchandises françaises par les mains des commissionnaires de France et de Paris en particulier....