Extrait du journal

gants, humant dans le vent l’odeur . • , • , . , . . „ des pâturages lointains. Les champe- IS noire* ' aborna quoi sert-il . liera marchaient à côté des bêtes d’un * * long pas glissant, leur bâton passé L intervention «lu président du derrière le cou et tenu par les bouts. Conseil va-t-elle du moins changer Ils encourageaient les animaux d’un lu face «les choses Y Oui, si les névéclaquement de langue. Parfois, lors- neineiits lui en laissent le temps, et que la piste s’engageait dans un s‘ les hommes placés sous ses ordres passage étroit, ou au campement lui en fournissent les moyens. M. près des puits, à l’heure incertaine Doumergue s'est engagé au service qui précède la lumière, un relou, j de la France. II n'a rien ni personne rapide comme un aigle en chasse, j à ménager. 1! 1 a clairement montré fondait sur le convoi. Coups de feu, j depuis cris, gémissements. Le convoi repartait, lié aux ravisseurs, laissant derrire lui des cadavres. Armé comme un vaisseau corsaire, par les parts des riches notables, le relou, bien monté, bien armé, menait sa . . course, prompt dans l’attaque, au- *>'en !»<**• bleu. faciaux dans la surprise....