Extrait du journal

Il est fâcheux, sans doute, d’avoir à débattre de telles questions en de tels moments. Mais à qui la faute, sinon à cette éternelle verrerie de ce qu’on appelle « les corps constitués », et qui le sont si mal que, lorsqu’on a besoin de prendre des décisions graves et rapides, on le fait sans eux, les gouvernements successifs ayant pris le droit d’agir par décretslois, quitte à subir au moment de la ratification des critiques qui n’ont plus la moindre importance, puisque le malheur est fait ?...