Extrait du journal

N’oublions pas que nos droits de douane n’ont pas été modifiés, que nos importations sont le double en chiffre de nos exportations, que nos concurrents allemands, tchécoslovaques et italiens font de gros efforts pour abaisser leurs prix de vente sur le marché français (j’en sais quelque chose), que nos dirigeants prétendent desserrer les contingents pourtant insuffisants, et alors à quoi serviront ces capitaux mis en circulation qui, théochiquement, devraient soit faciliter les échanges de nos productions, soit en ramener la prospérité ?...