Extrait du journal

Inutile de chercher plus loin les responsabilités de l’état révolutionnaire où nous vivons. Avant la guerre, comme dit Maurras, « les Français ne s’aimaient pas ». Mais ils s’étaient réconciliés devant l’ennemi, et la victoire les trouva prêts à une vie sociale meilleure et plus indulgente. Sans doute, ce n’était pas le paradis. Aujourd’hui, c’est l’enfer. La haine commande, une haine asiatique, qui ne se montre pas, qui ne dit pas son nom, mais qui se propage de haut en bas....