Extrait du journal

et fillette en blanc, de M. Boeswillwald. Le paysage, non plus, n’est pas en . défaveur ici. Dans ce genre, il est des œuvres de choix. M. Cachoud a rendu i avec autant de véhémence que de ci- ' rieur un saisissant effet de lune et de nuages en septembre. M. H. Foréau, lui, est pénétré d’harmonie, une harmonie d’un gris fin et léger, enveloppant à la fois la terre, le ciel et les eaux. Le paysage de Charente et la vue de A ensaille de M. Foréau résument les sensations de cet artiste délicat. La poésie du soir au bord de la Dordogne, le calme de la nuit au village, la nature dans son recueillement. M. Léon Dambeza rend tout cela en des pages dignes de lui. M. Duvent donne des impressions de ' eniée caressées tour à tour par la fine lumière du matin et du soir. Fidèle à la Bretagne, M. Le Goût Gérard en traduit les aspects, le caractère local avec autant d’accent que de sincérité ; pour en être convaincu, il suffit de voir son pittoresque Marché du Faouël et son beau Soleil couchant.Un des bons et caractéristiques morceaux de M. T.-Georges Roux, que , cette solide vue de Versailles, L* soir, | sur le parterre d’eau. Solide et généreux ; paysage que celui de M. ?vlaurice Moissef : Les Marais d'Elven. Ce coin de Jardin des vieilles demoiselles, d’une si , | luxuriante floraison et que nous montre...