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Le Journal des coiffeurs, 1 décembre 1847

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Le Journal des coiffeurs
1 décembre 1847


Extrait du journal

Entre tout ce que nous cherchons à reproduire du XVIIIe siècle, en modifiant toutefois ses modèles, il faut compter les robes parées qui ont pour bases de riches tissus et pour encadrement de ces dentelles dont la perfection, due à la fabrique des dentelles françaises et belges, est l'une des gloires de notre époque. Ces magnifiques réseaux, dont les dispositions toutes nouvelles ont autant d'élégance que de pureté, décrivant. de gracieuses berthes, des galeries, des volans de hauteur graduée, semblent produire un effet encore plus saisissant quand ils s'harmonient avec des garnitures châtelaines en fleurs ; rien de joli comme cette disposition due à la maison Perrot et Petit; des cordons de verdure et de fleurs courent sur trois volans de dentelle qu'ils relient entre eux, après que trois gros bouquets ont relevé chacun" de ces volans sur le...

À propos

Lancé en 1836, Le Journal des coiffeurs précise dans ses colonnes que le lecteur ne rencontrera pas de « digressions inutiles » mais bien au contraire de vrais renseignements autour du métier de coiffeur, de sa pratique et de son évolution. Le journal entend devenir une publication essentielle de la profession, notamment en publiant tous les mois de nouvelles créations dessinées par ses vingt-quatre coiffeurs collaborateurs. Il sera publié jusqu’en 1875.

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Données de classification
  • perrot