Extrait du journal

— Pan, pans pan. Qui est là? — Ouvrez, ouvrez vite, noué u avons, une minute à perdre. — Mais, pardon, je ne suis pas prêt ; toilette n’est pas encore laide. - On ne vous demande pas tant de toio que cela ; il s'agit bien en ce temps ci ailette ; moins vous en aurez, et mieux s serez reçu. Ignorez-vous donc que le déculotte est plus que jamais à la mode? - Oh ! pour cette mode-là, je n’en suis , et vous me permettrez, avant de vous rira, d’avoir pris mes précautions pour vous ne puissiez, avoir de doute à ce et. - Ah! que vous me semblez arriéré, c votre pudeur d’un autre âge. -Ma pudeur, sachez-le, ne saurait pair avec la grossièreté; et si je profite de alerté du temps pour me mettre à mon * et sans façon, cela ne va pas jusqu'à faire admettre le débraillé de l’ivresse allure sauvage que quelques-uns venuconsidérer comme les insignes du cin à la hauteur du mouvement social. h ça mais, j'y pense, vous qui me faitbuser ainsi, que me voulez-vous, et pipi me demandez-vous d’ouvrir si...