Extrait du journal

Sur le conseil de quelques amis, je suis allé rendre visite à Francisque Sarcey. Je lui devais de le remercier du feuilleton qu'il consacra aux Mauvais Bergers, et aussi de lui porter mes souhaits, à l'occasion du nouvel An. Au moment où j'entrai, le vieux critique sortait de table. Il était assis, ou plutÔt tassé dans un fauteuil, le visage très rouge et congestionné, l'œil somnolent, la bouche pendante. Cependant, à ma vue, malgré sa prostration, il s'écria sur ce ton de fausse et triviale bonhomie qui lui est si particulière :...