Extrait du journal

, Ces soldats anglais ont vécu quatre années dans des armoires, des placards, où ils pouvaient se croire déjà dans leur cercueil. Les femmes héroïques qui les avaient accueillis en disant: « J'ai un fils soldat comme toi », devaient en même temps, héberger des feldgrau, recevoir des gendarmes, des policiers soupçonneux. Imaginez ces scènes, ces angoisses, ce cauchemar qui semblait ne devoir jamais finir et vous trouverez que les drames imaginaires du GrandGuignol sont décidément un peu fades....