Extrait du journal

le Ob est mort. a la tête, le geste et l'air qui désignent au passant un militaire, un « chef n parmi les troupes. Dans l'exercice des fonctions et des devoirs civils, il a cet esprit vivant. ces manières énergiques, larges, étoffées, humaines que laisse l'habitude du commandement. Ses yeux, qui semblent ne pas se donner la peine de scruter, mais qui pénètrent tout l'interlocuteur, ses yeux montrent parfois la légitime émotion — la bonne émotion, (ie magistrat, qui n'est pas uni exception, mais qui est un sommet, répugne à la routine et croit que les textes ne sorrt pas faits pour broyer les êtres. Personne ne dira...