Extrait du journal

« Puisque vous admettez que les familles invoquent leurs convenances personnelles, qu'elles font souvent passer avant l'intérêt des enfants, disent les professeurs, pourquoi vous étonnez-vous que certains d'entre nous — en bien petit nombre, d'ailleurs — tiennent à chasser en septembre ? Mais notre objection est, en réalité, d'un ordre plus élevé. La santé du professeur est non moins à ménager que celle de l'enfant. Or, le fait indéniable, c'est que septembre est le mois le plus favorable au repos dont le maître a besoin, lui aussi, après une année de fatigue. Il ne reprend véritablement des forces qu'à ce moment-là, les grandes chaleurs n'étant plus à craindre. »...