Extrait du journal

Dans la Rome du seizième siècle, c'était. Michel-Ange qui dessinait les plans d'embellissement de la capitale du monde catholique. Sous le Grand Roi, c'était Le Nôtre qui encadrait la figure emperruquée du siècle dans le développement reciiligne des parterres, des pièces d'eau et, des charmtyles. A la fin du second Empire et dans les premières années de la troisième République, M. Alphand fut. le grand-maître des jardins. C est sa main qui jetait à profusion l'ombrage ses parcs anglais, qui faisait sourdre et courir au bois joli, Mesdames, le bavardage des ruisseaux champêtres, qui étalait en nappes élégantes les lacs ingénieusement rocailleux et qui élevait, au détour du chemin, le pont rustique si naturel, en vérité, qu'on se croirait en Suisse !...