Extrait du journal

La seconde affirmation qu'il est permis d'avancer, c'est qu'en cette affaire la logique n'est pas un guide plus sûr que la phonétique. Ainsi la Commission réformiste a elle-même été conduite à manquer à la logique sur un grand nombre de ses propositions. Exemple : voulant distinguer des mots qui ont la même orthographe et des significations différentes, elle aboutissait d'autre part à faire écrire de la même manière des mots qui ont une signification dUrétrente. On aurait écrit couvent autrement que « ils couvent », mais on aurait écrit nid comme ni, doit pour doigt, poi pour poids, puiS' pour puits, etc....