Extrait du journal

On m'avait dit : « Allez les entendre, vous ne perdrez pas votre temps. Ces vieilles chansons, que vous aimez parce que votre père et votre mère les chantaient en travaillant, et qui vous reviennent encore parfois à la mémoire, comme des bouffées d'einfanice.fces chansons évanouies, un doux ramage vous les rendra., Descendez, un mercredi soir, vers neuf heures, à la mairie du quatrième ajwomidSssieanmt, place Baudoyeir : le bocage est là. Voilà déjà ae l'imprévu, n'est-il pas vrai ? Mais vous aurez d'autres surprises. Comptez, pour vous les offrir, sur l'obligeance du président de t'OEuvre de la Chanson française, M. Ernest Chebroux, que vous trouverez au milieu des fauvettes dont il a entrepris l'éducation. Seulement, hâtez-vous. C'est mercredi prochain le dernier cours de la...