Extrait du journal

français. A ce moment, s'ouvrit l'huis et se montra la face épouvantée d'un domestique. Nous nous insinuâmes doucement sous le porche. L'officier japonais ne s'y opposa pas; il griffonna quelques notes sur son carnet, échangea de nouveau certaines paroles avec son Chinois redoutable ; il prononça à notre intention le plus rassurant des Ail right, donna un ordre bref à ses hommes, et, pendant que la patrouille s'éloignait au lointain, nous entrions dans la demeure du révérend. Le domestique referma précipitamment la porte cochère et, derrière elle, nous restâmes quelque temps immobiles, anxieux, l'oreille tendue. Un...