Extrait du journal

La majorité de valets qui lui est nécessaire pour rotor sa loi do trois ans ne peut se trouver que par la frousse. D’autre part, le mois de septembre approche ; la date de la libération de la classe est menaçante de dangers. Si, voulant renforcer la troupe de reîtres, remplir les vides laissés par les contingents de meurtre envoyés au Maroc, on disloquait l’armée, on détruisait son homogénéité de brutes disciplinées, si on provoquait une rébellion entraînante et générale des libérableu : ce serait une catastrophe. Il faut à tout prix terroriser le soldat pour le garder à la caserne et, par cela même, tranquilliser le bourgeois t rem bleu r en l’assurant de toute sécurité dans son exploitation, dans ses spéculations et dans scs crimes....