Extrait du journal

Il faut voyager comme je le fais, matin et soir, dans le train et le métro, pour se rendre compte de l’état d’esprit de ces ouvriers et employés qui rejoignent soit le magasin, soit l’atelier, pour grossir les retends de rexploituur.patro». Je me demande, d’après leurs conversations et les réflexions qu’ils font en parcourant leur canard, sur la série de cambriolages de bijouteries, quelle mentalité possèdent ces pauvres bougres et à quelle extrémité il faudrait les rendre esclaves pour leur ouvrir les veux....