Extrait du journal

Le but visé, est simplement de fermer un peu plus encore la frontière française des Pyrénées. Les gouvernants en ont assez de ce peuple espagnol qui ne veut pas se laisser assassiner sans résistance. A chaque offensive de Franco, lorsque sous le déluge de fer qui s’abattait sur eux les valeureux miliciens, sans armes, étaient obligés de reculer, nos capitalistes se réjouissaient, entrevoyant toujours la victoire rapide des rebelles. Et ensuite il fallait déchanter, les travailleurs ibériques enrayaient Voffensive et Franco était obligé d’attendre de recevoir de ses amis Hitler et Mussolini le matériel qui lui est nécessaire pour reprendre une nouvelle offensive, qui obtenait le résultat des précédentes....