Extrait du journal

Depuis le début de l'affaire, l’église a tenu à faire un demi-sellance, laissant les abbés et les nones, directement mis en cause, se démêler avec la justice. Quelques « Monseigneur^ » ont simplement, du bout des lèvres et dans la bonne tradition de duplicité de l’église, protesté contre « ces procédés que réprouve l’église >. Pour la bourgeoisie chrétienne qui risquait toutefois de demander des explications, cette vieille bourrique de Mauriac est chargée d’apaiser les consciences, d’accuser même les volés de voleurs, dans les colonnes du Figaro....