Extrait du journal

A l'époque, les radicaux alliés pour la forme aux socialistes et. à quelques députés conservateurs, combattirent véhémentement contre les lois et ne ionsnilueul à les voter que sur la promesse longs lie qu'elles ne seraient qu'une arme provisoire aux mains du gouvernement d'alors. Ce gouvernement fut renversé, et puis d'autres, et d'autres encore, toute la gamme des couleurs républicaines. depuis le rose, pâle jus qu'au rouge le plus cramoisi, passa tour à tour sur les portefeuilles ministériels, mais les lois scélérates subsistèrent, non pas oubliées par ceux qui les combattirent. jadis, mais bien escomptées par ceux-ci. In letto, les réactionnaires se (h- dent- : Canailles de républicains, quand nous aurons étranglé lu (luruse, quelle arme merveilleuse, forgée par vans, nous aurons contre, vous et qui nous permettra de vous envoyer près h nient rejoindre là-bas... à la Guyane, ]i< anarchistes. Les socialistes parti sans de la conquête des pouvoirs puhl.es, grands dénigrer des lois d exception tant qu'ils sont minorité, ne tirent jamais honnêtement, le nécessaire, toua! ce qu'ils auraient pu faire, pour 1 abrogation de ces lois qui. aujourd’hui, soin une menace suspendue sur leur tète par les radicaux, leurs anciens a! )j.*s contre les opportunistes, mais arrivés les premiers au pouvoir....