Extrait du journal

» Je venais d'entendre, reprit le chevalier de Tancrède, le frémissement d'une robe et le léger bruit d'une porte ouverte et refermée avec précaution : je n'y avais pas pris garde; j'étais trop absorbé, trop incapable de faire la part de mon extase et de la réalité. Un instant après, je me retournai ; il n'y avait plus personne dans la loge; je crus sériiMisement que ma tante avait passé à iravers la cloison : le fait esV que, fatiguée et souffrante, elle ne s'était pas senti le courage d'attendre jusqu'à la fin, et n'avait pas voulu,—je le devinai etlui'cn rendis grâces,— me faire perdre une minute de cette soirée de délices....