Extrait du journal

LE PRINTEMPS 0 privera ! dell'anno.. O des printemps enfuis mémoire enchanteresse ! La clairière à leurs fronts prête un voile embaumé; Sur la corde de soie ils bercent leur ivresse, Le pied courbant les fleurs, le corps demi-pamc, Tons deux ils ont vingt ans, l’amant et la maîtresse Dieu les flt beaux tous deux comme un matin de mai Lui, noie aux blonds cheveux son ardente caresse ; Elfe, suspend son âme au cou du bien-dire, Et le ruisseau s’écoule, et le papillon passe, Et le bruit des b sers qui traverse l’espace Joue avec les roseaux sur l’aile des serments... M,is qu’importe le vent, les joncs, l’eau fugitive, Ou l’heure sans retour que nul ne fait capte . Ils ont vécu leur vie en un de ces moments l...