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Le Mot d’ordre, 17 mars 1891

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Le Mot d’ordre
17 mars 1891


Extrait du journal

l’opposition, par leurs représentants, par leurs amis, dans le conseil supérieur. Mais il ne faut pas oublier que le conseil qui, d'après la loi, a voix consultative. n a pas voix législative. Nous sommes sûr que le ministre saura s’en souvenir. Best en dehors des intérêts et des passions, au-dessus des rivalités mesquines.il n’a en vue que le bien public. U peut en appeler au Parlement d’une représentation qui, par son mode étroit de recrutement, ne représente ni tout le corps enseignant, ni tout le pays en leurs légitimes aspirations. Et comme le disait hier, avec une ferme netteté, dan» la Revue Saumon, M. Jules Gautier: « Le jour où il faudrait sortir du terrain universitaire et porter la question devant des assemblée» souveraines, ce n'est pas du côté de l’enseignement ancien que seraient les majorités. »...
Le Mot d'ordre (1877-1922)

À propos

Le Mot d’ordre, initialement paru pendant et après la Commune, est un quotidien repris temporairement en 1877 par le journal La Marseillaise, avant de le remplacer définitivement en novembre 1879 sous la direction de Valentin Simond. Y collaborent de nombreux journalistes et écrivains comme Edmond Lepelletier, Francis Enne ou Léon Cladel.

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