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Le Mot d’ordre, 26 avril 1882

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Le Mot d’ordre
26 avril 1882


Extrait du journal

Stances atténuantes? A-t-il dans ces trahisons morales l’excuse du désintéressement ou 1 excuse ; plus pressante du besoin? Non, M. Weiss a\ait, i c’est sa plus sévit condamnation, assez de talent et assez d’amitiés bienveillantes autour de lui pour être assuré de gagner toujours librement ot grassement sa vie. quant à son désintéressement, les bancs du conseil diktat savent ce qu en vaut l’aune. M. Weiss est un sceptique, M. W cils n’aime point la Uue ; il adore les fonctions paisibles et sûres i les causes gagnées lui plaisent, les vaincus lui paraissent ridicules, et voila pour> quoi il a quitté les vaincus du 2i Mai et au 16 t Mai, comme il avait quitté jadis les vaincus dui 4 . Septembre. Hélas ! vanité des vanités, les bouvet-...
Le Mot d'ordre (1877-1922)

À propos

Le Mot d’ordre, initialement paru pendant et après la Commune, est un quotidien repris temporairement en 1877 par le journal La Marseillaise, avant de le remplacer définitivement en novembre 1879 sous la direction de Valentin Simond. Y collaborent de nombreux journalistes et écrivains comme Edmond Lepelletier, Francis Enne ou Léon Cladel.

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